En effet l'
Omnimax rouvre plus régulièrement qu'avant, du moins pendant la plupart des vacances scolaires, pas seulement l'été cette année (toujours
Le Monde de l'invisible à l'affiche depuis 2016, ça commence à faire long)
Le film
Everest fut diffusé de 1999 à 2001 à l'
Omnimax, en 2012 au Kinémax (multiprogrammation dans le cadre du festival Imax), puis de nouveau à l'
Omnimax en 2014 très brièvement (quelques journées en haute affluence).
Merci
@Fabscope pour les liens sur la rénovation de cette salle
Omnimax aux USA c'est intéressant !
La technologie de projecteur importe peu étant donné l'état de l'écran et ses jointures entre plaques trop visibles sur l'écran, je vois que Nanoseam est une bonne solution pour un remplacement de l'écran avec des joints beaucoup plus discrets, qui équipe plus de 250 écrans en dôme dans le monde (je me demande si par exemple l'écran de Voletarium à Europa-Park en fait partie).
Enfin bref peu importe l'écran ou le projecteur, c'est toujours bien de remettre au goût du jour une salle de projection en remplaçant une technologie obsolète. Ça a été tout à fait appréciable au Kinémax.
Mais le visiteur quidam se fiche complètement que ce soit une pellicule Imax, du laser ou LED, il ne se rendra jamais compte de la différence : il apprécie juste de revoir l'aventure de Thomas Pesquet lors d'une pause entre deux vraies attractions, et s'il a un peu de chance il est amusé par l'écran qui se soulève à la sortie.
Le visiteur type du Futuroscope n'est pas spécialement geek ou cinéphile et ne viendra au Futuroscope que pour passer de bons moments en se plongeant dans des univers surprenants et sensationnels, peu importe le dispositif technique du moment que ce dernier sait se faire oublier un instant.
L'image de l'
Omnimax aura beau être plus nette et éclatante que jamais, avec un film intéressant, si cela reste une expérience passive de type cinéma dans un siège immobile, je ne vois pas ce que le Parc aura à y gagner par rapport à ce qu'est l'
Omnimax aujourd'hui.
Le public du Futuroscope ne vient plus pour ça. L'image ou la technologie n'est plus en soi un thème, au mieux un savoir-faire.